Dans cet album, nous découvrons un Goya qui laisse un témoignage, à base de dessins, d’une guerre et d’un après-guerre dur et oppressant à tous les niveaux. L’économie du pays et les biens étaient limités. Preuve en est que cet album est dessiné à l’encre d’écriture (encre ferrique) dans un carnet de notes et non pas dans un carnet à dessin.
Contrairement à l’Album E, où le décor dans lequel se déroulaient les scènes n’apparaissait pas, dans le F, Goya nous décrit des espaces concrets, obscures et inquiétants qui accompagnent les personnages, dans cette expression de la misère, de la tragédie et de la violence qui régnaient à cette époque.
Un album replet de dessins rapides et précis qui se mélangent à d’autres, plus lents et délicats. Goya, tout comme nous, n’était pas d’humeur égale tous les jours.
Centro Botín
Muelle de Albareda, s/n,
Jardines de Pereda
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